
J’ai croqué le grain de grenade
le feu humide de la pulpe
sur l’amertume du pépin
dans le crépuscule-matin
.
et l’oiseau cessa de chanter
J’ai croqué le grain de grenade
le feu humide de la pulpe
sur l’amertume du pépin
dans le crépuscule-matin
.
et l’oiseau cessa de chanter
Vous devez être connecté pour rédiger un commentaire.
merci à Dominique Hecq pour cette publication dans le numéro 18 de la revue, intitulé &laq…