Cadeau trouvé ce matin, dans ma boîte aux lettres – les voici accompagnés des poèmes qu’ils m’ont inspirés :
Ariane s’en fût,
tirant le fil de l’ombre :
Pelote obscure ouvrant,
au flanc du labyrinthe,
Le vertige d’un seuil
à la lumière noire.
*
Quelle plume mime un oiseau
sur le carreau de la nappe
Le soir tombe et la carafe
a des regrets de rubis
A son flanc qui s’obscurcit.