Je ne puis résister au plaisir de vous montrer l’un des poèmes de « Paysages Intérieurs », traduits en hébreu par la poète Gili Haimovitch,
Ton corps
coquille vide
repose sur la plage
stridente et vierge
Ton ombre a fui
Même l’abri de tes paupières
n’est plus qu’une éclatante absence.
עכשיו – בדממה האנושה של הלבנה
גופך
צדפה ריקה
נח על גדה
רועמת וזכה
צילך נמלט
ומקלט שמורות עינך
נחתם על העדר זוהר