Le livre de Gili Haimovich, traduit par moi, sortira bientôt chez Jacques André éditeur, dans la collection qui a accueilli La Dernière oeuvre de Phidias et La Noyée d'Onagawa...
Cette publication scelle plusieurs années d’amitié et de collaboration : certains des poèmes inclus dans le livre ont fait l’objet de publications en cours de travail sur minotaur/A et sur Recours au poème, et je suis très fière qu’il sorte enfin, malgré toutes les difficultés de la situation actuelle, pour témoigner de la vivacité de la poésie, cette « mauvaise herbe » qui résiste à tous les aléas, repoussant sans cesse les limites du vivant, dans toutes les failles où un peu d’espoir peut-être entretenu
Gili est invitée au festival de poésie de Sète, en juillet 2021.