Troisième article de ma rubrique "musarder" sur la revue Le Ortique : un regard sur la poète Marie-Claire Bancquart, et des questions sur l'invisibilisation des femmes-poètes quand elles n'écrivent pas selon les clichés de "l'écriture féminine" : (le texte italien est suivi de sa version française - sélection de poèmes dans les deux langues)
Qu’a-t-il manqué à Marie-Claire Bancquart pour que son « aura » se limite au cercle plus restreint des connaisseurs de poésie ? Cet article pose les bases d’une enquête, et ne prétend pas résoudre le(s) problème(s) ni apporter de réponse – juste, lancer des pistes, poser des questions, sur ce qui semble encore pour beaucoup un état de faits « normal ». Et comment mieux poser le problème qu’en donnant la parole à l’autrice elle-même, parlant de poésie – et à ses poèmes eux-mêmes.
on trouve l’article en cliquant ici : musarder sur LE ORTIQUE