je partage un extrait, pour la beauté de l’alphabet … pour découvrir le texte en français, voir ici-même, sur minotaur/A : http://minotaura.unblog.fr/2012/03/10/amarcord/ মেরিলিন বার্তোনসিনি স্মৃতি (Amarcord) ক্রন্দনরত গেলসোমিনাকে ফেলে রেখে গিয়েছিল ফাঁকা রাস্তায় মনে পড়ে তোমার ধীরে ধীরে একটি ঘোড়া আর জীবনের ধূসর বাতাস আর আমাদের স্বপ্ন পেরিয়ে গেল আমাদের (…) Translation in Bangla: Shuhrid …
. Sous la trame lacérée du réel la vie s’obstine les tiges sans racines des mousses s’insinuent
. . Le soyeux baillon du vent pétale contre la bouche qui taît les mots que tu mâches
. . . A l’envol de la colombe le bleu tumulte des jacinthes rebondit dans la cuisine - effluves de printemps.
ma bouche dit ton nom et l’air frêle le mêle à l’haleine des fleurs
L’Œuvre du Temps : Le souvenir est barbelé – il saigne sur le drap de l’aube.
L’étang fume comme la tasse chaude entre mes mains L’horizon disparaît quand je bois mon café.
O, de ce trou dans sa poitrine toute douleur s’est échappée brûlant la chair des souvenirs . La rose des quatre vents tournoie sur le ciel de cendre grège où s’élance le fil, ténu, de la pensée.
détails du travail de Bérénice Mollet, projet commun en cours d’élaboration sur La Nuit de Lilas, à suivre sur son blog : http://berenicemollet.blog.free.fr/
Dans les débris et les décombres du jardin l’aile estropiée d’un ange abandonnée à la rouille qui la mord.
Téléphone dieu-lare dieux aux oreilles closes les minutes s’étirent comme des fils à plomb et tu ne t’émeus pas.
Lentement remontés le long de la sève ses mots de l’infra-monde palpitent aux feuilles-lèvres du platane Ebouriffés par le vol des agaces ils essaiment comme les graines des rousses akènes mûries (…) la suite ici, sur Le Capital des Mots : http://www.le-capital-des-mots.fr/2015/02/le-capital-des-mots-marilyne-bertoncini.html
Trois pots alignés devant la fenêtre L’hiver tiendra-t-il tout entier dans l’ambre dorée de la gelée de coing?
Derrière l’angle d’une maison il montre seulement une patte - et un coin de frimousse qui sait pourquoi c’est un chat. E.B.
La fine pelure du nuage s’accroche à la branche puis se déchire diaphane et rose The thin onion peel of the cloud gets entangled to the branch then tears diaphanous and rose
Poème à feuilleter sur Calaméo en suivant le lien : http://fr.calameo.com/read/004120293eb2904deea9e
la rue blafarde est un chat maigre ondulant au rythme des néons des épaules dans l’ombre glauque d’une cabine tressautent dans le silence qui les relie au fil du téléphone entre les lauriers-roses un train bruisse fracas de naufrage et cliquetis de rames
vidéo à voir en suivant le lien : https://www.facebook.com/video.php?v=10203580058483664&set=vb.1281400575&type=2&theater
Avant la vapeur d’or sur les collines le liseré d’émeraude à l’aube de la mer un instant je ferme les yeux et tu es frémissant derrière mes paupières battement d’oiseau à la jugulaire haleine tiède sur le gris de la pluie mon compagnon de cendre
Dans le ciel, un glaçon qui fond trouble la lumière froide La plage secoue ses galets.
