Avant la vapeur d’or
sur les collines
le liseré d’émeraude
à l’aube de la mer
un instant je
ferme les yeux
et
tu
es (…)*
la suite à lire sur la revue d’Eric Dubois que je remercie pour son accueil :
http://www.le-capital-des-mots.fr/2015/01/le-capital-des-mots-marilyne-bertoncini.html
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